Nous citoyennes et citoyens, nous nous insurgeons contre la totale impunité dont jouissent tous ceux qui commettent du vandalisme, des dégradations et des méfaits en vidant leurs ordures et leurs déchets ou en édifiant des murs devant les services publics, Préfectures, DDT, DDSPP, MSA, OFB, Permanences de députés, domiciles de responsables associatifs ou d’élus, institutions scientifiques INRAE… liste non exhaustive hélas ! La suite ici
Date de la prochaine réunion : vendredi 10 janvier 2025 à 18h30 Salle Amédée Burbaud(rdc palais des sports)
Photo de la remise de 2 chèques pour soutenir dans leurs activités nos paysans, ceux qui nous nourrissent. Nous venons d’aider Simon Bertin des Jardins d’Iries à St Yrieix sous Aixe Maraichers Bio pour l’achat d’un tracteur et à Cédric Aubeneau de l’oignon fait la force à Rochechouart pour le montage d’un bâtiment agricole tous les 2 pour 8000 euros.
Attaqué lâchement par des membres de la coordination rurale 87. Notre président et trésorier sont engagés dans l’aide et la solidarité envers les paysans grâce à l’oseille citoyenne.
Séminaire RÉCOLTE #4 – « Transmettre les terres agricoles : un enjeu territorial »
Contrairement à ce que certains agriculteurs extrémistes pensent, nous sommes les premiers soutiens des agriculteurs. Nous achetons bio, local, consommons des produits de producteurs proche de chez nous que nous avons aidé avec l’oseille citoyenne (associations dont la plupart d’entre nous faisons partie et en sommes à l’origine). Malheureusement, suivre aveuglément les multinationales, les coopératives, l’agro industrie, l’industrie des pesticides qui vivent sur le dos des agriculteurs et au mépris de leur santé, n’est pas la solution et ne résoudra en rien les revenus agricoles. Agriculteurs réfléchissez bien à qui vous confiez votre temps de cerveau disponible, renseignez vous sur la manière dont sont évalués les pesticides et l’impact sur vos enfants de toute cette pollution.
« Les revendications de nos collègues en conventionnel, et notamment la baisse des normes environnementales, vont à l’encontre de notre métier, à l’encontre de ce que l’on observe sur le territoire en termes de pollution de l’air et de l’eau, en termes de biodiversité. Nous prônons un tout autre modèle agricole, qui respecte l’environnement, mais aussi le consommateur et le producteur.«
Nous avons participé à cette enquête publique, ou, une fois encore, mais encore plus que d’habitude, nous avons pu constater le non sens, les conflits d’intérêts, la destruction de l’environnement, la partialité d’un commissaire enquêteur sur ces types de projets communaux. Maire vous voulez quoi comme agriculture et paysages ? Du bocage ou du carnage ? Vous savez bien que quand le chemin disparait, les haies disparaissent aussi, avec la biodiversité, le nombre de paysans etc …
Synthèse et conclusion : Nous ne reviendrons pas sur ce qui faut bien appeler des vices de forme concernant cette enquête publique (publication, affichage, ajout de chemins…), la partialité du commissaire enquêteur en donnant son opinion dès le premier jour de l’enquête face à l’assistance présente ce jour-là (une quinzaine de personnes environ), le vote au conseil municipal d’un des demandeurs, le comportement plus que discutable d’élus de la république… etc.
S’agissant des voiries n° 1 et 2, des chemins n°7 et du chemin ajouté à l’enquête publique situé au village Les Ages (n°17 ?), nous ne nous opposons pas à leur aliénation même si elles nous paraissent discutables.
Pour l’ensemble des autres chemins, nous nous opposons à leur aliénation parce qu’ils ont un intérêt de préservation des paysages, un intérêt écologique, par leurs fonctions, de corridor éco-logique, d’accueil de biodiversité, de classement en zone Naturelle, en zone Naturelle protégée, en zone de servitude d’intérêt public au PLUi de la comcom du Haut Limousin en Marche, accès aux cours d’eau, rivière. Ils répondent pour la plupart aux orientations et objectifs définies dans le Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) de la comcom du Haut Limousin en Marche. Pour un des chemins il y a aussi un possible problème de prise illégale d’intérêt. L’ensemble de ces aliénations ne satisfont que des intérêts privés au détriment de l’intérêt général
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation et d’aliénation du tronçon de chemin rural au village de Conore au droit des parcelles référencées section AN N° 65 et 66 sur le territoire de la commune de Peyrilhac.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet d’aliénation de chemin ruraux au droit des parcelles cadastrées B 528, B 352, B 518, B 531, B 319, B 363, B 527 situé au lieu-dit « Le Breuil » sur le territoire de la commune de Blond.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation, d’aliénation et de modification de l’assiette d’un tronçon du chemin rural du Moulin du Rat au droit des parcelles référencées section C N°737, 736 et 735 sur le territoire de la commune de La Chapelle Montbrandeix.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation et d’aliénation d’un tronçon de chemin rural au village de La Dauphie au droit des parcelles référencées section C N°188, 196, 187 et 176 et de trois chemins ruraux ou tronçon au village de La Roche au droit des parcelles référencées section B N° 22, 21, 619, 616, 20, 613, 604, 600, 716, 530, 532, 243, 244, 238 et 507 sur le territoire de la commune de Chabanais.