Nous citoyennes et citoyens, nous nous insurgeons contre la totale impunité dont jouissent tous ceux qui commettent du vandalisme, des dégradations et des méfaits en vidant leurs ordures et leurs déchets ou en édifiant des murs devant les services publics, Préfectures, DDT, DDSPP, MSA, OFB, Permanences de députés, domiciles de responsables associatifs ou d’élus, institutions scientifiques INRAE… liste non exhaustive hélas ! La suite ici
RecommandéLancement du Mouvement Les Indignés avec le soutien de Saint-Junien Environnement RDV Vendredi 22 mars 2024 devant la MAIRIE de Saint-Junien (87) 18h/19h30
Performance de Sêma Lao, artiste qui réalisera La FRESQUE des Indignés
Avec la présence de scientifiques, artistes, citoyen.ne.s, enseignant.e.s, paysan.ne.s …
Les indigné.e.s est un mouvement apolitique nourri de scientifiques de paysannes et paysans, artistes, actrices et acteurs de l’environnement, de la santé, de l’alimentation, de la culture, de l’économie, de l’enseignement, de citoyennes et citoyens, … Parce que la nourriture touche à la porosité des mondes – l’économie, la culture, la santé, l’enseignement, l’aménagement du territoire, les paysages, l’écologie, … ensemble indignons-nous sous une diversité d’actions respectueuses des biens, des personnes et de la Terre. Demandons au Gouvernement Attal non seulement de renoncer à ses décisions anti-environnementales mortifères, totalement irresponsables mais aussi d’initier un élan de grand envergure pour l’agroécologie paysanne et l’agriculture biologique.
Avertissement : Ce texte et ce visuel sont libres de droit. Ils peuvent être utilisés, affichés, transmis dans les espaces physiques et numériques sans autorisation préalable ni versement de droit d’auteur. Ils peuvent être déclinés en stickers, flyers, banderoles par toutes les associations souhaitant s’en saisir.
Nous avons besoin de NOURRIR LA VIE. Les mesures anti-environnementales irresponsables retenues par le Gouvernement ATTAL vont PRODUIRE À MORT/PRODUIRE LA MORT. Indignons-nous !
Nourrir, c’est prendre soin de l’autre, y porter attention1. Santé physique2, santé psychique3, santé de la terre/Terre et de ses communs, tout est lié4. De nombreuses initiatives paysannes contemporaines, mêlant savoirs, savoir-faire et créativité œuvrent en ce sens. Leurs capacités à nourrir le monde ne fait plus de doute5. Dans les paysages nourriciers qu’elles élèvent, plantes, bêtes et gens agissent en synergie. Mais voilà que les mots « nourrir » et « paysan » déployant avec eux l’espoir pour les générations présentes et à venir sont repris, pervertis par les lobbies de l’agriculture industrielle et de la chimie. Une agriculture qui met en péril la santé de ses agricultrices, agriculteurs, des populations comme de tous les vivants. Une agriculture qui formate des paysages mutilés où la diversité vivante, culturelle ne peut plus pousser6.
Le mouvement des indigné.e.s alerte sur les effets toxiques de cet amalgame entre nourrir les gens par une économie fertile7, solidaire et alimenter le business. Une confusion que la majorité des médias entretiennent en ignorant les enjeux de société à l’œuvre dans le mouvement agricole de ce début 2024. Une confusion avec laquelle jouent les mesures politiques européennes, nationales comme vient de le faire en France le premier ministre dans son discours du 26 janvier 2024 et dans ceux qui ont suivi8. Les mesures annoncées appellent à poursuivre un modèle sans issue, à total contre-courant des travaux scientifiques, nombreux sur les conséquences délétères des pesticides9, des pratiques à rebours du vivant qui caractérisent l’agriculture conventionnelle industrielle en France ainsi qu’ ailleurs10. Les décisions politiques anti-environnementales annoncées par le Gouvernement français dans l’urgence encouragent un pseudo-imaginaire d’une toute-puissance virile et guerrière. Elles valorisent l’exploitation des biens communs, leur pillage, la dislocation des territoires et dévalorisent les forces résilientes de l’agroécologie paysanne. Elles visent à imposer le non-sens de la démesure où se profilent des champs de ruine que nous devrions subir, en silence dans une anesthésie générale. Un jeu auquel les paysan.ne.s sont forcément perdant.e.s11 tout comme les populations. Ironie du sort ; la fertilité masculine est justement aujourd’hui mise à mal par les pesticides dont le glyphosate12.
Nous avons besoin d’une économie fertile pour les paysan.ne.s, la société et la terre/Terre13. Nous avons besoin de la beauté vivante des lieux, nous aspirons à élever nos enfants en paysages nourriciers de liens solidaires, de sens, de créativité, d’espoir. Indignons-nous !
Les indigné.e.s est un mouvement apolitique nourri de scientifiques de paysannes et paysans, artistes, actrices et acteurs de l’environnement, de la santé, de l’alimentation, de la culture, de l’économie, de l’enseignement, de citoyennes et citoyens, … Parce que la nourriture touche à la porosité des mondes – l’économie, la culture, la santé, l’enseignement, l’aménagement du territoire, les paysages, l’écologie, … ensemble indignons-nous sous une diversité d’actions respectueuses des biens, des personnes et de la Terre. Demandons au Gouvernement Attal non seulement de renoncer à ses décisions anti-environnementales mortifères, totalement irresponsables mais aussi d’initier un élan de grand envergure pour l’agroécologie paysanne et l’agriculture biologique.
La 16ème Semaine Pour les Alternatives aux Pesticides (SPAP) se tiendra du 20 au 30 mars 2021. Pendant les 10 premiers jours du printemps, qui symbolisent le retour des épandages de pesticides dans les champs, des centaines d’évènements ont lieu partout en France et à l’étranger pour montrer que les pesticides ne sont pas une fatalité et qu’il est possible de s’en passer. Coordonnée par l’association Générations Futures, la SPAP rassemble plus de 50 partenaires français et internationaux. Le thème de l’édition 2021 est la Souveraineté Alimentaire. Il est de notre droit de choisir notre alimentation, la façon dont elle est produite et dont nous la consommons. Les conséquences sanitaires et environnementales des pesticides nous concernent toutes et tous, qu’importe notre activité : consommateurs, agriculteurs, élus, citoyens, jardiniers, cuisiniers… Nous pouvons toutes et tous faire le choix de favoriser les alternatives aux pesticides dans notre quotidien ! A cette occasion, des adhérents de Saint Junien Environnement et de Générations futures Haute Vienne seront présent sur le marché de St Junien le samedi 20 Mars afin de vous informer sur les graves menaces que font courir à l’humanité les pesticides et vous fournir de la documentation et des conseils sur les alternatives.
Saint Junien Environnement et Générations futures Limoges 87 vous informe sur les pesticides et leurs alternatives.
Concernant les pesticides savez-vous que :
Les formulations commerciales vendues contiennent des poisons non déclarés sur l’étiquette (Plomb, Nickel, Arsenic, Titane …) et la Dose Journalière admissible n’est basée que sur la matière active déclarée, Jamais sur la formulation commerciale avec les adjuvants voir ici
L’EFSA évalue uniquement la substance déclarée active par l’industriel et donc sans regarder son effet cumulé, avec d’autres substances présentes dans le produit final, appelé « l’effet cocktail ». ici
Les agences sanitaires écartent les études qui les gênent ici ou ici
Les études scientifiques des industriels de l’agrochimie sont entachées de fraudes massives ici
Les pesticides sont la causes prépondérante de l’effondrement massif des insectes et des oiseaux ici
Le Glyphostae a d’abord été un détergent pour canalisation ici
Pour discréditer les chercheurs qui gênent, l’industrie dépense des millions ici
Le Label HVE (Haute Valeur Environnemental) permet l’utilisation des pesticides de synthèse. Pour en savoir plus Label HVE
Oui mais alors comment faire autrement :
Brochure sur les alternatives aux pesticides Téléchargement
Conseils pour aménager son jardin d’agrément « zéro phyto », sobre en entretien et favorable à la biodiversité Téléchargement ici
Livret à utiliser dès la phase de conception de votre jardin, mais aussi lors des aménagements qui peuvent suivre. Par exemple : choisir les bons matériaux pour une allée, planter en pieds de murs pour éviter de désherber, etc. Présentation du livret
Le savon noir permet de lutter contre les pucerons mais pas seulement Pour en savoir plus : Le savon noir au jardin
Le petit lait ou le lait écrémé permet de lutter contre l’Oïdium. Pour en savoir plus: Le petit lait au jardin
La propolis permet de lutter contre la cloque du pêcher mais pas seulement. Pour en savoir plus: La propolis au jardin
Pour éloigner les fourmis de la maison: très efficace, répandre du bicarbonate de soude en poudre, mettre les aliments à l’abri et nettoyer les miettes et autres salissures des surfaces, boucher les interstices et utiliser des répulsifs sur leurs lieux de passage. autres solutions, citron, lavande, menthe poivrée, vinaigre blanc…
Nous utilisons quotidiennement des biocides sans savoir que ce sont aussi des pesticides : anti-moustiques, anti-puces, anti-mites, anti-fourmis, tue-mouches, raticides, peintures anti-moisissures, produits de protection du bois…Les pesticides ne sont plus autorisés dans les jardins, arrêtons aussi de les utiliser dans nos maisons ! A consulter : l‘étude Pesti’home, réalisée en 2019 par l’ANSES pour étudier les utilisations domestiques des pesticides
Les produits contre les insectes volants sont les pesticides les plus utilisés dans les maisons ? Ces insecticides peuvent avoir des impacts sur la santé. Contre les moustiques : utiliser des répulsifs naturels : citronnelle, géranium, lavande… ; installer des moustiquaires ou des rideaux de perles pour éviter leur intrusion dans la maison ; éviter l’eau stagnante (soucoupes des pots de fleurs, récupérateur d’eau fermé…) où se développent leurs larves.
Contre les mouches : utiliser des répulsifs naturels : basilic, girofle, tanaisie… et en dernier recours des bandelettes autocollantes ou un piège à mouche.
Les raticides et rotenticides utilisés pour tuer rats, souris et autres rongeurs, sont des produits non sélectifs qui arrivent en tête des intoxications chez nos animaux de compagnie comme chez les animaux sauvages ? Ils sont également dangereux pour l’être humain, en particulier les enfants. Pour lutter contre les souris et les rats : mettre les aliments à l’abri, boucher les trous et les fissures, favoriser les prédateurs : chats, buses, chouettes, renards…, et utiliser des tapettes ou des cages.
Les insecticides anti-fourmis sont très dangereux pour les pollinisateurs, et pour certains d’entre eux aussi pour les organismes aquatiques ?Au jardin, la cohabitation avec les fourmis est possible : les fourmis aèrent le sol grâce à leurs galeries, elles disséminent les graines, sont les prédateurs des chenilles, larves, vers… et recyclent les déchets.
Date de la prochaine réunion : vendredi 10 janvier 2025 à 18h30 Salle Amédée Burbaud(rdc palais des sports)
Photo de la remise de 2 chèques pour soutenir dans leurs activités nos paysans, ceux qui nous nourrissent. Nous venons d’aider Simon Bertin des Jardins d’Iries à St Yrieix sous Aixe Maraichers Bio pour l’achat d’un tracteur et à Cédric Aubeneau de l’oignon fait la force à Rochechouart pour le montage d’un bâtiment agricole tous les 2 pour 8000 euros.
Attaqué lâchement par des membres de la coordination rurale 87. Notre président et trésorier sont engagés dans l’aide et la solidarité envers les paysans grâce à l’oseille citoyenne.
Séminaire RÉCOLTE #4 – « Transmettre les terres agricoles : un enjeu territorial »
Contrairement à ce que certains agriculteurs extrémistes pensent, nous sommes les premiers soutiens des agriculteurs. Nous achetons bio, local, consommons des produits de producteurs proche de chez nous que nous avons aidé avec l’oseille citoyenne (associations dont la plupart d’entre nous faisons partie et en sommes à l’origine). Malheureusement, suivre aveuglément les multinationales, les coopératives, l’agro industrie, l’industrie des pesticides qui vivent sur le dos des agriculteurs et au mépris de leur santé, n’est pas la solution et ne résoudra en rien les revenus agricoles. Agriculteurs réfléchissez bien à qui vous confiez votre temps de cerveau disponible, renseignez vous sur la manière dont sont évalués les pesticides et l’impact sur vos enfants de toute cette pollution.
« Les revendications de nos collègues en conventionnel, et notamment la baisse des normes environnementales, vont à l’encontre de notre métier, à l’encontre de ce que l’on observe sur le territoire en termes de pollution de l’air et de l’eau, en termes de biodiversité. Nous prônons un tout autre modèle agricole, qui respecte l’environnement, mais aussi le consommateur et le producteur.«
Nous avons participé à cette enquête publique, ou, une fois encore, mais encore plus que d’habitude, nous avons pu constater le non sens, les conflits d’intérêts, la destruction de l’environnement, la partialité d’un commissaire enquêteur sur ces types de projets communaux. Maire vous voulez quoi comme agriculture et paysages ? Du bocage ou du carnage ? Vous savez bien que quand le chemin disparait, les haies disparaissent aussi, avec la biodiversité, le nombre de paysans etc …
Synthèse et conclusion : Nous ne reviendrons pas sur ce qui faut bien appeler des vices de forme concernant cette enquête publique (publication, affichage, ajout de chemins…), la partialité du commissaire enquêteur en donnant son opinion dès le premier jour de l’enquête face à l’assistance présente ce jour-là (une quinzaine de personnes environ), le vote au conseil municipal d’un des demandeurs, le comportement plus que discutable d’élus de la république… etc.
S’agissant des voiries n° 1 et 2, des chemins n°7 et du chemin ajouté à l’enquête publique situé au village Les Ages (n°17 ?), nous ne nous opposons pas à leur aliénation même si elles nous paraissent discutables.
Pour l’ensemble des autres chemins, nous nous opposons à leur aliénation parce qu’ils ont un intérêt de préservation des paysages, un intérêt écologique, par leurs fonctions, de corridor éco-logique, d’accueil de biodiversité, de classement en zone Naturelle, en zone Naturelle protégée, en zone de servitude d’intérêt public au PLUi de la comcom du Haut Limousin en Marche, accès aux cours d’eau, rivière. Ils répondent pour la plupart aux orientations et objectifs définies dans le Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) de la comcom du Haut Limousin en Marche. Pour un des chemins il y a aussi un possible problème de prise illégale d’intérêt. L’ensemble de ces aliénations ne satisfont que des intérêts privés au détriment de l’intérêt général
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation et d’aliénation du tronçon de chemin rural au village de Conore au droit des parcelles référencées section AN N° 65 et 66 sur le territoire de la commune de Peyrilhac.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet d’aliénation de chemin ruraux au droit des parcelles cadastrées B 528, B 352, B 518, B 531, B 319, B 363, B 527 situé au lieu-dit « Le Breuil » sur le territoire de la commune de Blond.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation, d’aliénation et de modification de l’assiette d’un tronçon du chemin rural du Moulin du Rat au droit des parcelles référencées section C N°737, 736 et 735 sur le territoire de la commune de La Chapelle Montbrandeix.
Contribution de l’association Saint-Junien Environnement à l’enquête publique portant sur le projet de désaffectation et d’aliénation d’un tronçon de chemin rural au village de La Dauphie au droit des parcelles référencées section C N°188, 196, 187 et 176 et de trois chemins ruraux ou tronçon au village de La Roche au droit des parcelles référencées section B N° 22, 21, 619, 616, 20, 613, 604, 600, 716, 530, 532, 243, 244, 238 et 507 sur le territoire de la commune de Chabanais.